Dans la foulée des nombreuses critiques faites à l’endroit de la pelouse, l’APGQ tient à remettre à l’avant plan les nombreux bienfaits de ce végétal unique et résilient sur la santé et l’environnement.
La pelouse durable, qui n’est pas parfaite et qui cohabite très bien avec d’autres espèces de plante couvre-sol permet de limiter la quantité de surfaces minéralisées et contribue très activement à maintenir une température ambiante agréable, à contrôler les eaux de surface et à capter les nombreux polluants dans l’air.
La pelouse doit retrouver ses lettres de noblesse et être reconnue pour ses avantages pour la planète. C’est en continuant d’innover, en travaillant sur de nouvelles espèces plus résistantes et demandant moins d’entretien, et en poursuivant l’éducation du public sur les bonnes pratiques d’entretien de la pelouse, comme l’herbicyclage et la tonte à 8 cm minimum, que les producteurs de gazon poursuit sa mission.